Dans l’article Turns out smarter kids are made, not born[1], l’autrice rappelle que, bien que certains parents puissent penser qu’un·e enfant est né·e intelligent·e ou non et qu’il n’y a pas grand-chose à faire à cet égard par la suite, plusieurs études démontrent qu’il est possible pour les parents d’influencer positivement le développement de l’intelligence de leurs enfants. De plus, les recherches les plus récentes ont relevé que cette influence peut entraîner des conséquences positives dès le plus jeune âge.
Cette influence est possible lorsque les parents adoptent un growth mindset, ce qui peut s’expliquer par la croyance à pouvoir développer ses habiletés grâce au travail et aux efforts fournis en ce sens, et de pouvoir ainsi soutenir son enfant dans ses propres apprentissages afin qu’iel développe à son tour ses habiletés. Souvent mentionné comme un maternal growth mindset par ces études se concentrant sur les effets dès le plus jeune âge, les mères qui l’adoptent peuvent davantage gérer les effets négatifs du stress chez elles et, par la même occasion, aider le développement du cerveau de leur bébé. En effet, d’autres recherches avaient déjà relevé que le stress vécu par les mères entraîne des conséquences négatives non seulement sur les interactions mère-enfant, mais aussi sur le développement du cerveau de l’enfant.
On constate donc qu’il est possible de promouvoir et d’encourager chez les parents, grâce à de relativement brèves interventions, l’adoption d’un growth mindset qui leur permettra : 1) de soutenir le développement du cerveau de leurs enfants en bas âge; et 2) d’encourager leurs enfants à adopter à leur tour un growth mindset afin de développer en continu leurs propres habiletés.
[1] Mineo, L. (2022). Turns out smarter kids are made, not born. The Harvard Gazette. https://news.harvard.edu/gazette/story/2022/01/turns-out-smarter-kids-are-made-not-born/
L'intelligence artificielle générative (IAG) soulève de nouveaux enjeux en matière d'engagement des élèves en classe. Puisque la participation en classe est l'un des quatre niveaux d'intervention et de recherche du réseau PÉRISCOPE, ce colloque, planifié avec des chercheur·es du GIS2IF, un regroupement de recherche associé au réseau PÉRISCOPE, est appelé à se pencher sur ces enjeux ainsi qu'une approche pédagogique reconnue pour miser sur l'agentivité des élèves. Pour en savoir davantage, suivre ce lien.
La nouvelle série documentaire de Julien Cadieux, animée par la journaliste Sophie Désautels et Mathilde, sa fille autiste, explore des initiatives d'inclusion des jeunes à besoins particuliers dans le milieu éducatif, tout en mettant en lumière des personnes engagées et passionnées... Produite par les Productions du Milieu, la série Imaginons une école pour tous qui peut être visionnée sur le site web de TFO, sera diffusée sur AMI-télé à compter du 27 août. Sophie Désautels a réalisé aussi un balado en six épisodes sur le sujet. La série est aussi accessible pour les personnes non voyantes.
La version finale de l’ouvrage collectif est maintenant disponible sur le site de la BAnQ. Merci à celles et ceux qui y ont collaboré, qui l’ont lu, qui l’ont partagé et qui en ont discuté. Plusieurs nouveaux chapitres ont été publiés depuis notre dernier partage, alors n’hésitez pas à y jeter un coup d’oeil.
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La Revue internationale du CRIRES: innover dans la tradition de Vygotsky lance un appel de textes autour de la thématique de l’évaluation dans le but de repenser, de réfléchir, de documenter et de proposer des angles diversifiés quant aux pratiques d’évaluation selon des entrées différentes.
Le projet REPAIR du CTREQ dont la chercheure Nicole Monney a dirigé le volet recherche vient de se terminer. Voir notamment sous ce lien